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Lectures publiques, débats, ateliers, vente de livres au kilo… La deuxième édition de la semaine de la littérature africaine a rassemblé à Douala et Yaoundé amateurs et professionnels du livre. Une façon de célébrer aussi le succès grandissant des auteurs du continent à l’international, selon Ulrich Talla Wamba, directeur exécutif de l’Observatoire africain des professionnels de l’édition (OAPE).

Marche littéraire sportive, concours des meilleures lectrices de Douala : #LalectureJecontribue est un mouvement particulièrement actif pour développer le goût de la lecture, même  auprès des plus réfractaires. Il a été créé par un jeune auteur et journaliste, Junior Haussin. Avec ses bénévoles, il veut convertir au livre ceux qui a priori n’y voient aucun intérêt. Ulrich Talla Wamba, de

Annulation des foires du livre d’Abidjan ou Yaoundé, baisse des ventes: en Afrique francophone les professionnels du livre souffrent de la crise sanitaire. En revanche, les manuscrits arrivent en nombre et les grandes maisons d’édition ont su adapter leur offre, en développant des solutions numériques. Ulrich Talla Wamba, le directeur exécutif de l’Observatoire africain des professionnels

Distribuer des livres aux enfants des camps de déplacés que la crise sécuritaire dans l’Ouest tient éloignés de leur maison et des bancs de l’école, c’est l’objectif de l’association Muna Kalati (« Livre pour enfants » en douala). Grâce à des ouvrages soigneusement sélectionnés, elle offre à ces enfants une parenthèse, le temps d’une histoire, lue ou racontée. Un moyen d’apaiser, sinon de